L’histoire derrière SuperHote
Un parcours chaotique,
guidé par l’audace
Pourtant, rien ne prédestinait ce rêve à se réaliser facilement.
Au lycée, mes notes ont chuté et j’ai de justesse obtenu mon bac, avec une moyenne de 10,2.
Pas de quoi faire la fierté des professeurs… et encore moins de mes parents.
Mais au fond de moi, je sentais bouillir un potentiel inexploité.
Je n’avais pas encore trouvé le moteur qui me pousserait vers l’avant.
C’est à l’université que tout a commencé à changer.
J’ai compris que l’audace pouvait être la clé qui ouvre des portes insoupçonnées.
Un jour, un intervenant extérieur – un professionnel venu nous parler de son métier – a mentionné qu’il travaillait chez IBM.
Mon cœur a fait un bond.
J’ai repensé à ce mensonge que j’avais raconté au collège, à ce rêve né d’une gêne.
À la fin de son intervention, j’ai pris mon courage à deux mains et je suis allé le voir.
Je lui ai dit, presque d’une traite, combien je rêvais d’intégrer IBM et que j’étais prêt à tout pour y parvenir.
Cette demande audacieuse devant toute ma classe a changé le cours de ma vie : il m’a accordé un stage.
Quelques mois plus tard, ce stage s’est transformé en CDI.
J’ai réussi : moi, le gamin qui faisait la queue aux Restos du Cœur, je devenais ingénieur informaticien chez IBM.
10 ans après mon mensonge blanc, il devenait réalité.
Au lycée, mes notes ont chuté et j’ai de justesse obtenu mon bac, avec une moyenne de 10,2.
Pas de quoi faire la fierté des professeurs… et encore moins de mes parents.
Mais au fond de moi, je sentais bouillir un potentiel inexploité.
Je n’avais pas encore trouvé le moteur qui me pousserait vers l’avant.
C’est à l’université que tout a commencé à changer.
J’ai compris que l’audace pouvait être la clé qui ouvre des portes insoupçonnées.
Un jour, un intervenant extérieur – un professionnel venu nous parler de son métier – a mentionné qu’il travaillait chez IBM.
Mon cœur a fait un bond.
J’ai repensé à ce mensonge que j’avais raconté au collège, à ce rêve né d’une gêne.
À la fin de son intervention, j’ai pris mon courage à deux mains et je suis allé le voir.
Je lui ai dit, presque d’une traite, combien je rêvais d’intégrer IBM et que j’étais prêt à tout pour y parvenir.
Cette demande audacieuse devant toute ma classe a changé le cours de ma vie : il m’a accordé un stage.
Quelques mois plus tard, ce stage s’est transformé en CDI.
J’ai réussi : moi, le gamin qui faisait la queue aux Restos du Cœur, je devenais ingénieur informaticien chez IBM.
10 ans après mon mensonge blanc, il devenait réalité.

Je n’oublierai jamais la fierté dans le regard de mes parents lorsque je leur ai annoncé la nouvelle.
Pour eux, c’était comme si, enfin, quelqu’un de la famille brisait la fameuse « chaîne de la pauvreté ».
Leur fils entrait dans une grande entreprise, avec un salaire stable, une sécurité.
Aux yeux de mes parents, c’était la victoire de tous leurs sacrifices.
Ils avaient fait leur part du chemin.De mon côté, je ressentais une fierté immense, bien sûr, mais aussi une responsabilité nouvelle.
J’avais brisé le maillon de la pauvreté pour moi certes, mais je voulais faire plus : je voulais que ce changement dure pour les générations suivantes.
Je voulais devenir une légende familiale, la preuve vivante qu’on peut changer le destin d’une lignée.
Pour eux, c’était comme si, enfin, quelqu’un de la famille brisait la fameuse « chaîne de la pauvreté ».
Leur fils entrait dans une grande entreprise, avec un salaire stable, une sécurité.
Aux yeux de mes parents, c’était la victoire de tous leurs sacrifices.
Ils avaient fait leur part du chemin.De mon côté, je ressentais une fierté immense, bien sûr, mais aussi une responsabilité nouvelle.
J’avais brisé le maillon de la pauvreté pour moi certes, mais je voulais faire plus : je voulais que ce changement dure pour les générations suivantes.
Je voulais devenir une légende familiale, la preuve vivante qu’on peut changer le destin d’une lignée.